Les cinq piliers de la stratégie RSE de Saint Louis Sucre portent une démarche d’amélioration continue

La stratégie RSE de Saint Louis Sucre répond à une volonté de mieux structurer les actions plus durables déjà mises en place par nos collaborateurs au niveau des clients, des usines ou encore des planteurs. Elle se nourrit aussi des attentes émanant de toutes les parties prenantes comme les collaborateurs, les partenaires ou encore les acteurs locaux. Sa ligne conductrice s’inscrit en cohérence avec le plan de développement durable du groupe Südzucker et de la Division Sucre « Growing in Balance » - se développer en équilibre. Toutefois, elle intègre les enjeux auxquels sont confrontés les planteurs français, les acteurs des territoires et les clients. Aussi, l’année 2023 a été celle de la réflexion à partir d’échanges conduits avec plus de 200 parties prenantes. Ils ont été nécessaires pour dessiner les grands axes du plan et structurer la feuille de route. Collaborateurs, clients, planteurs, élus, entreprises, associations : tous ont partagé leur attente auprès d’un groupe de travail. Accompagné par le cabinet spécialisé en RSE Des Enjeux et des Hommes, ce comité RSE a répertorié vingt engagements clés. 

Cinq piliers RSE, onze engagements

La stratégie RSE se décline autour de cinq piliers et onze engagements. 26 objectifs ont été déterminés. Propres à Saint Louis Sucre, ces engagements doivent se vivre au quotidien.

Pilier 1 : Accompagner nos partenaires agricoles vers des pratiques plus durables
Pilier 2 : Être un acteur engagé au cœur de nos territoires
Pilier 3 : Prendre soin de nos équipes
Pilier 4 : Apporter des solutions à nos clients et nos consommateurs
Pilier 5 : Agir avec authenticité et éthique en dialoguant avec nos parties prenantes

L’accompagnement des planteurs, au cœur des engagements

L’agriculture intègre le pilier « Accompagner nos partenaires agricoles vers des pratiques plus durables ». Cet engagement de l’entreprise valorise le rôle de la ferme agroécologique d’Étrépagny et celui du programme Mont Blanc pour créer des références techniques. Il fixe un objectif pour 2030 en termes de déploiement de l’agriculture régénératrice. Celui-ci correspond à 30 % des planteurs engagés dans une démarche certifiée d’ici à 2030. Les inspecteurs de culture et le service agronomique sont au cœur de ce dispositif pour partager les connaissances avec le plus grand nombre.

Transition écologique et culture d’entreprise

Autre point important, chacun doit pouvoir agir à son niveau pour la transition écologique, collaborateurs inclus. « Par exemple, les critères de la RSE sont pris en compte dans les accords d’intéressement des salariés, complète Carole Burzicki. Aussi, le paramètre RSE intégrera le déroulé de l’entretien annuel des salariés dès 2025. »

De plus, la décarbonation des activités est un point commun à tous les maillons de la filière sucre, des planteurs aux clients et consommateurs. « Pour mieux informer les collaborateurs sur les enjeux du changement climatique, nous organisons des ateliers autour de la Fresque du climat », illustre Carole Burzicki. Élaboré par Cédric Ringenbach, consultant en transition énergétique auprès des entreprises, ce serious game explique les mécanismes et enjeux du changement climatique. Aussi, à l’aide de cet outil, l’ensemble des salariés de Saint Louis Sucre devra être sensibilisé en 2025.

Toutefois, l’approche environnementale se veut plus globale. « La transition écologique ne concerne pas uniquement la réduction des émissions de gaz à effet de serre, insiste Carole Burzicki. Cette thématique rassemble de nombreux sujets dans chaque domaine d’activité. Chacun peut contribuer à son niveau, selon son implication et sa sensibilité. L'objectif est de s’inscrire dans une démarche d’amélioration continue. »

Apporter des solutions durables aux clients et aux consommateurs

Autre action clé pour Saint Louis Sucre : la réduction des emballages. Lancée depuis une dizaine d’années, elle se traduit par un travail sur l’écoconception pour le sucre commercialisé en grandes et moyennes surfaces.
Par ailleurs, 100 % des emballages doivent être recyclables à horizon 2024 en GMS et tous circuits confondus en 2027.

Enfin, l’investissement en formation atteint un niveau de 3 % de la masse salariale contre 1,4 % en moyenne en France. Il participe notamment à l’amélioration de la sécurité au travail avec un objectif de zéro accident.

« L’intégration de ces engagements à notre stratégie est un formidable levier de motivation pour les équipes », conclut Carole Burzicki

Retrouvez ici la stratégie RSE de Saint Louis Sucre